Formes en perpétuel devenir, les nuages varient sans cesse : leur
densité, leur épaisseur, leur transparence, leurs qualités de gris.
C’est à cause ou grâce au vent que les nuages « vivent » leur
ballet perpétuel. Table ronde de propositions insolites… Sur scène, 3 musiciens et 2 vidéastes font vivre leurs textures, en constant glissement entre la simplicité de leurs moyens de production et la grandiloquence de leurs résultats projetés sur les multiples surfaces de la scénographie.
Une guitare électrique à plat sur la table, quelques éléments de percussions, sons de souffle réalisés à partir de voix, de trombones, des frottements des peaux de tambour, et de petits objets anodins sous les caméras…Ceci produit des nuages qui enveloppent l’espace d’un épais brouillard sonore et visuel.
Ce concert a été joué au Hall des Chars de Strasbourg, au Relais Culturel de Niederbronn, et à « Gare du Nord » à Bâle
Composition et électronique live : Gualtiero Dazzi
Percussions : Fritz Hauser
Guitare préparée : Bruno de Chènerilles
Régie Générale : Didier Coudry
Vidéo live et scénographie : Zahra Poonawala et Marie-Anne Bacquet (Marigold)
Avec des images de Robert Cahen
